Serge Branco, l’un des grands défenseurs de Samuel Eto’o, dans l’espace public, a été prié de libérer le plateau de l’émission Club d’Elites de ce dimanche 27 novembre 2022.
Pour cause, dans ses envolées, l’ancien Lions Indomptables a traité son co-paneliste « d’énergumène ». Une dérive de langage qui lui a valu d'abord un recadrage de la part du présentateur Bruno Bidjang.
Sauf que Serge Branco, qui voulait absolument s’attirer la sympathie de Samuel Eto’o, a récidivé. Mais la sentence, cette fois, a été sans appel, puisque le médaillé Olympique Sydney 2022 a été prié de libérer les studios du média privé basé à Yaoundé, et appartenant à l’homme d’affaires Jean Pierre Amougou Belinga.
Quelques heures après, le mis en cause va pondre un message sur internet, laissant croire que l’ordre de le chasser du plateau a donné par le patron de la chaine. Ce qui vraisemblablement est faux. Bruno Bidjang est revevu à la charge avec des explications tout au moins claires. « Serge BRANCO , le mensonge a de courtes jambes. Dieu merci j’ai des témoins ( les autres co panelistes). J’ai été claire , PLUS D’INJURES dans mon émission. Mais tu as récidivé. Alors à partir de ce moment j’assume mes responsabilités. Si tu cherches à aller au Qatar laisse le nom de Bidjang et de mon PDG. Awono l’a d’abord fait envers toi, je le lui ai dit et comme cela ne suffisait pas, tu as remis ça. J’ai instruit à mon Réalisateur de te faire sortir poliment du plateau car tu es allé trop loin et je l’assume. Au sortir de l’émission, tout le monde est surpris de lire et écouter partout que tu racontes que le PDG m’a appelé en pleine émission et que j’aurai eu une conversation avec toi. C’est quand même incroyable ce degré de malhonnêteté venant d’un adulte. Franchement cherche encore mieux pour aller au Qatar, ETOO est généreux , tu n’as même pas besoin de trop danser pour ça. Et Ton attitude d’aujourd’hui prouve le pourquoi tu es resté au Cameroun. Je veux pas revenir sur d’autres choses, parce que si je parle , je suis sûre que Samuel ne te saluera plus jamais. », a explique le DG adjoint de Vision 4.
