Décidément Sissiku Jilius Ayuk Tabe, président par intérim de la république imaginaire d’Ambozonie ne va pas abdiquer, « l’homme fort » du Southern Cameroons semble multiplier des contre-offensives visant à « nuire » le pouvoir de Yaoundé.
Alors qu’il sommait il y a quelques temps seulement les parlementaires anglophones à quitter l’hémicycle, l’informaticien de formation va cette fois aller plus loin. Il vient à cet effet de saisir la CPI pour crimes commis par les forces de la république du Cameroun sur les populations des Southern Cameroun. 11personnalités camerounaise sont visées.