×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

Cameroun-Enlèvement du sous-préfet de Batibo : Le directeur de l’hôpital de Bamenda dément la rumeur de la présence du corps du sous-préfet à la morgue de sa formation hospitalière

Marcel Namata Diteng

« Tout ce que vous avez entendu ou lu sur les réseaux sociaux ne sont que des rumeurs », telle est la déclaration du directeur de l’hôpital régional de Bamenda au sujet de la rumeur faisant état de la présence de la dépouille du sous-préfet de Batibo dans sa formation hospitalière.

Marcel Namata Diteng, sous-préfet de Batibo(Nord-Ouest) qui jusqu’ici reste introuvable avait été enlevé par des personnes inconnues dans la matinée du 11 février 2018.

Le quotidien Le Jour du mercredi 14 février 2017 rapportait que Marcel Namata Diteng avait quitté son domicile après avoir reçu un coup de fil lié aux festivités du 11 février.

Certaines sources non officielles avaient indiqué que le sous-préfet de Batibo avait été enlevé en pleine cérémonie de défilé du 11 février à la place des fêtes de Batibo. Le préfet de la Momo avait par la suite démenti de façon formelle cette information en précisant que le sous-préfet de Batibo avait été kidnappé plutôt entre son domicile et la place des fêtes.

Le sous-préfet selon son collaborateur avait été enlevé au moment où il se rendait à la place des fêtes. C’était, souligne-t-il à l’effet de s’assurer du respect des consignes de sécurité en vue d’un défilé du 11 février sans embuche.

La crtv par ailleurs avait rapporté que l’épouse de la victime Julienne Namata a déclaré que son époux avait quitté le domicile familial pour cette même place des fêtes après avoir reçu un coup de fil en provenance quelqu’un qui s’y trouvait déjà.

Une autre source aussi avait rapporté que le chef de terre accompagné de son chauffeur avait été enlevé en chemin par des hommes armés et cagoulés près d’un village appelé Kuruku alors qu’il se rendait à la place des fêtes de la ville pour mettre au point les derniers réglages sécuritaires.