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Cameroun-homicide au Lycée Bilingue de Deido et licenciement du directeur de l’hôpital : pour Armand Okol, il y’a renversement de situation.

Armand Okol

Armand Okol, porte-parole du Candidat malheureux, Cabral Libii au scrutin présidentiel du 7 octobre dernier estime que le ministre des enseignements secondaires n’a pas joué son rôle dans l’incident de l’hôpital de district de Deido.

En effet, les réactions continuent de tomber après l’assassinat du jeune élève le vendredi 29 mars au Lycée Bilingue de Deido, à Douala dans la région du littoral. Sur les plateaux de la chaine de télévision Stv ce dimanche la décision du ministre de la Sante publique était au centre du débat lors de l’émission 7hebdo. Parmi les invitées, on a noté la présence de Armand Okol.

Ainsi, pour l’ancien journaliste de la chaine LTM, il a eu renversement de la situation car le proviseur du Lycée Bilingue de Deido devait être limogé et non le directeur de l’hôpital de Deido.

Ceci vient en réaction à la décision du ministre de la Sante publique, Manaouda Malachie du 6 avril. Dans cette décision, le ministre a relevé de ses fonctions le directeur de l’hôpital de district de Deido, Dr Noah Dominique. Ce dernier a été remplacé par le Dr Kedi Magamba, précédemment directeur médical et technique en service à l'hôpital gynéco obstétrique de Douala.

Rappelons que trois dames, infirmières dans la même formation hospitalière avaient déjà fait l'objet des sanctions. Accusées de manquement grave à l’éthique et au respect des principes de leur profession, elles avaient été suspendues pour trois mois, selon un communiqué du ministre Manaouda Malachie.

Conduit à l’hôpital de district de Deido dans un état critique, l’élève avait été pris en charge par une équipe médicale. Pendant que certains médecins étaient en train de réanimer le jeune Bleuriot en agonie, d’autres personnels se contentaient plutôt à filmer cette séance de réanimation, dont les images choquantes avaient été publiées sur les réseaux sociaux, ce qui avait provoqué une indignation au sein de l'opinion.