×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

« Fais attention à tes déclarations…», Sismondi Bitjocka pense que son confrère Guy Zogo pourrait lui-même être interpelé et gardé au SED

Le patron de RIS Radio Sismondi Barley Bitjocka appelle le journaliste d’Équinoxe TV, Guy Zogo, a traité avec professionnalisme l’affaire Martinez Zogo. «Tu as dit énormément de choses qui pourraient te valoir des poursuites judiciaires », déclare Sismondi Bitjocka à son confrère Guy Zogo, qui a presque élu domicile au SED, où sont détenus les présumés commendataires du meurtre de Martinez Zogo.

Mon inquiétude et mon conseil amical et fraternel pour mon ami et frère Guy Zogo Mon frère permet moi au lendemain du renvoi des principaux prévenus au SED de te dire fais attention à tes déclarations lors des JT sur Équinoxe. Oui je puis me permettre de le dire tu as clairement perdu toute lucidité et toute impartialité journalistique dans l’affaire de ton Mbombo. On t’acclame aujourd’hui, tu es la star, tu ne contrôles plus ce que tu dis. Tu fais exactement ce qu’a fait ton mbombo et ce que faisait Jean Pierre Amougou Belinga, quand il croyait être intouchable. Le peuple qui t’adule aujourd’hui va te lâcher demain quand tes déclarations seront retenues contre toi. Mon frère et grand Reporter Guy Zogo. Depuis le début de l’interpellation de Jean Pierre Amougou Belinga, tu as dit énormément de choses qui pourraient te valoir des poursuites judiciaires. Les gens te diront « aka » fonce, tu es le meilleur, ils te mettent en statut, mais demain tu seras seul au tribunal. Tout le monde te dit Amougou Belinga est fini! Mon frère fait gaffe. En me réveillant ce vendredi matin et en apprenant que les prévenus sont retournés au SED, ce que moi j’appelle à la case départ, soit plus que jamais rigoureux dans le traitement de l’information qui tu donnes au public. Facebook t’adule, aujourd’hui, comme il adulait Bruno Bidjang, mais le moment venu, ils n’auront que leurs claviers pour dire « libérer Guy Zogo » Mais tu seras tout seul face à ton destin. Tu seras devant un juge froid qui ne lit pas les choses de Facebook et s’en fout des commentaires de tes confrères qui diront « libérer Guy Zogo ».