Dans une correspondance, le ministre camerounais de la forêt et de la faune est revenu sur l'existence d'un réseau de blanchiment du bois exploité illégalement qui font perdre de l'argent à l'État et provoquent la perte d'importantes ressources forestières .
correspondance adressée à ses collaborateurs dans les 10 régions du Cameroun, il stipule et je cite: « Il m'a été donné de constater que certains opérateurs économiques utilisent des documents sécurisés (lettres de voitures et carnet de chantier DF10) contrefaits, pour blanchir le bois exploité illégalement, sachant que certains de vos collaborateurs paraphent et signent les lettres de voitures à blanc, et souvent sans en référer aux formulaires de transmission accompagnant lesdits documents ».
Pour mettre un terme à ce phénomène malveillant Jules Doret Ndongo préconise à ses collaborateurs d'intensifier la vigilance lors de la vérification des documents accompagnant les cargaisons de bois coupées sur le territoire national.