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Maahlox le vibeur à Happy d’Efoulan : « Petit, laisses la drogue, ton corps ne supporte pas »

Les rapports entre Happy d’Efoulan et son producteur sont devenus trop tumultueux.

Le premier a publiquement accusé le second de violences et de séquestration. Le jeune chanteur de Mbolè  révèle avoir été victime de maltraitances à plusieurs reprises « Il m’a tapé 04 fois. J’ai laissé les trois premières fois mais la quatrième fois je n’ai pas laissé», explique Happy en présentant les blessures sur son corps.

Le producteur, lui,  accuse le jeune chanteur d’affabulation, non sans indiquer qu’il portera plainte : «Tout ce qu’il dit est faux. Je ne l’ai jamais frappé, ni kidnappé, ni harcelé. Je ne parle pas avec lui. Il est dans mon label, c’est vrai mais c’est un petit pour moi. Tout ce qu’il dit c’est un coup monté et je vais porter plainte pour diffamation ».

Serge Nkodo explique faire face à un délinquant juvénile qu’on n’arrive pas toujours à encadrer. Happy lui donne du fil à retordre. Au-delà de son travail de producteur, il semble déjà faire face à des charges parentales, en envoyant Happy en cure de désintoxication à l’hôpital Jamot où ce dernier arrive à s’échapper. « Il y avait pleins de rumeurs sur lui avant qu’on ne signe un contrat et j’ai fini par confirmer ces rumeurs. C’est un drogué, on a essayé de l’aider. Il y a aussi d’autres faits: têtutesse, non-respect de contrat, homosexualité ou je ne sais quoi, je pense qu’il est temps que tout ça soit clair », martèle le producteur.

Sur les réseaux sociaux, les commentaires et réactions se multiplient.

Le jeune prodige du Mbolé qui a connu une ascension fulgurante, voit désormais sa carrière tourner au ralenti, moins d’un an après la signature du contrat de production avec Serge Nkodo.

Pour le rappeur Maahlox le vibeur, Happy paie simplement le prix de son addiction aux suffisants.

« Je connais mon petit qu’il laisse la drogue c’est ça qui bloque son talent maintenant celui qui croit qu’il le connaît mieux que moi c’est son problème moi je parle à un petit que je connais s’il veut il m’écoute », écrit Maahlox .