Le correspondant de RFI à Yaoundé, Polycarpe Essomba a été sérieusement tabassé, alors qu’il couvrait les marches pacifiques initiées par l’opposant Kamto.
Outre Polycarpe Essomba, plusieurs autres hommes de média ont subi de pires atrocités. Lindovi Njio du quotidien La Nouvelle Expression et Rodrigue Ngassi, cameraman pour Équinoxe Télévision.
Polycarpe Essomba et Rodrigue Ngassi ont été relaxés après avoir subi des violences, Lindovi Njio quant à lui, reste en détention.
Dans un communiqué publié, Radio France Internationale a déploré les violences de la police camerounaise, qui portent sérieusement atteinte à la liberté de la presse.