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Suisse: BAS « brigade anti-sudistes » feintée, humiliée, neutralisée à Genève

Tout avait commencé à Lyon (en France), il y a trois ans, au cours d’une conférence internationale.

Alors que les Dirigeants du monde, les scientifiques et les organisations internationales s’étaient rassemblées pour parler de la lutte contre les fléaux qui minent le monde : « le Sida, le Paludisme et la tuberculose ». Le Cameroun avait, en plus, dans sa chemise un quatrième fléau, pernicieux et ravageur: « la Brigade anti-Sudistes » encore appelée la « kamtopositive » ; un invité surprise, déterminée à en découdre avec la longévité au pouvoir de Paul Biya ?

A pandémie violente, thérapie violente

La bagarre amicale que la « Brigade anti-sudistes» (BAS) a livrée à domicile en (France) contre la garde républicaine, se soldera par un avantage certain des éléments de la « GP »( Garde Présidentielle. Le rendez-vous du combat amical retour, entre la meute de l’ouest et celle du sud aura lieux en Suisse à l’hôtel « Intercontinental » ; un test grandeur nature des velléités de confrontation entre betis et bamilékés.

Qui pourrait encore émettre des doutes sur les capacités athlétiques des éléments de la garde présidentielle? On les connaissait habiles dans la manipulation des AK 44 et Kalachnikov. On les a découverts à Lyon dans la bagarre de rue, à mains nues et au corps à corps. On dirait qu’ils avaient mangé du lion à Lyon. Quel punch! Un cocktail explosif d’arts martiaux: Boxe, Judo, Karaté, lutte traditionnelle; plus un peu de catch. Les anti-sardinards en ont consommé sans modération à Lyon. Des coups à distribuer, Il y en a eu pour tous et dans tous les arts martiaux: La légion « GP » a sauté sur la « Bas » comme des chiens enragés. Cette dernière ne l’oubliera pas, avant sa prochaine promenade aux alentours d’un hôtel où logera le chef de l’Etat en Europe. Résultat des courses, le bilan est spectaculaire et éloquent chez les anti-sardinards: 12 mâchoires cassées, 05 crânes brisés, 03 pieds cassés, 14 contorsions de jambes; 09 bras cassés; 24 traumatismes crâniens. Rien à signaler dans la garde de Paul Biya. Ce n’était qu’une bagarre amicale, assure-t-on du côté de la Garde présidentielle. La vraie bagarre, ce sera pour la prochaine fois.

Une basse et honteuse attitude

Les « brigades anti-sudistes » se sont mobilisées le 17 Juillet à Genève en masse pour la capture et le « chassement » de Paul Biya comme un rat ; malheureusement une force d’interposition (la police suisse) s’est substituée à la Garde Présidentielle, sauvant ainsi la BAS d’une sortie en queue basse d’une autre raclée légendaire et patriotique.
Le temps des images des anti-sardinards d’Europe considérés comme des héros de la libération du peuple sur les réseaux sociaux est révolu. C’étaient le temps des illusions, des utopies et du mensonge. Quand certains camerounais, dit de la « diaspora », croyaient que Paul Biya, tel un rat palmiste acculé, allait sortir de son trou et se faire assommer par des chasseurs affamés de la « Brigade anti-sudistes ». C’étaient les temps de la manipulation et de l’intoxication avec des urnes qui avaient quitté les bureaux de scrutin au Cameroun, pour s’installer sur les abords de l’hôtel Intercontinental de Genève et sur les trottoirs de New-York alors que la présidentielle était déjà gagnée, on se rendra compte tardivement, que l’argent des tontines venant du pays et, avaient été distribué à des sans-abris camerounais d’Europe. Quel gâchis.

Quelle image ! Quelle image de la BAS doit-on retenir désormais ? Des images d’une bande d’individus, voyous, tribalistes, jaloux, bêtes et méchants, sans logis ni pain en Europe. Des prétendus camerounais devenus des têtes à claques pour la garde du chef de l’Etat. Et enfin la risée des camerounais qu’ils voulaient « libérer » de la « dictature autocrate kleptocrate gérontocrate sanguinaire et imbécilocrate » de Paul Biya.

La honte de qui ?

La honte de ces soi-disant camerounaises, qui ont été dénudées par les policiers, tirées sur le goudron comme des malades mentaux en crise. Nul doute que ces femmes dont les images pathétiques et drôles circulent sur les réseaux sociaux sont des camerounaises sans papiers. C’est aussi la honte de ceux qui croient qu’un permis de séjour en suisse s’obtient, au prorata du nombre de participations à ces rassemblements sauvages en Europe. C’est surtout la honte De ceux qui croient que l’on obtient ses papiers, grâce à l’originalité des injures contre Paul Biya.

C’est aussi ma honte. Moi qui espérais tant de la diaspora. Cette diaspora où l’on a tant de camerounais de valeur : comme Fernand Beyene, brillant homme d’affaire, Ngahane, préfet en France, Amobé Mevegue, Alain Foka, journalistes, Colonel Ebanga de la marine Française etc… C’est ma honte. Moi qui croyait que le Dialogue national, je dis le Grand dialogue national, était un antidote contre ce genre de fléaux.
Des camerounais de la diaspora étaient au palais des congrès. Ils ont fait des propositions et ont été entendus. Loin de moi la sagesse de savoir ce qui sera fait de leurs propositions, et des promesses contenues dans les résolutions.
Je sais au moins une chose: ils ont été bien logés, bien nourris, bien blanchis pendant leurs séjours. Je sais qu’ils sont rentrés la tête pleine des réalités que nous vivons ici, qu’ils sont rentrés les ventres pleins de bonne chair. Et les poches pleines d’argent. Mais, je suis heureux qu’ils soient venus, pour voir le pays autrement que sur les réseaux sociaux. C’est ce qu’on appelle la Diaspora Positive.

L’homme lion est porté disparu

Son Excellence, madame l’ambassadrice de bonne volonté de l’ONU sida et présidente fondatrice de l’organisation humanitaire internationale Synergies Africaines, madame Chantal Pulchérie Biya est à Lyon Cannes (France). Son Excellence, le président de la République du Cameroun, monsieur Paul Biya noble « Bulu » est en (France) ou en (Suisse), qui sait ? Pendant ce temps, La Diaspora racaille, Bas (Brigade anti-sudistes » était dans la rue, comme toujours.
Alors que la Bas cherchait des nouvelles sur « Pô mbia » et de nouvelles formules pour ses basses manœuvres, De quoi parlent-ils ? S’interroge Un policier suisse; réponse d’un élément des renseignements Généraux, du « Sida et de la tontine », c’est à dire en français facile, de« kamtopositifs » ce virus au taux de contamination inquiétant mais qui demeure maîtrisé.
La forme camerounaise de cette maladie: La succession de Paul Biya. Elle fait maigrir les impatients et jaloux. Elle fait tousser et fait monter la température, sur les réseaux sociaux. Une campagne de dépistage gratuite et de prise en charge devrait être lancée. Pour soigner ceux qui ont le souffle coupé quand ils voient Paul Biya à la télé et sur ses deux jambes…

Je compte sur la police genevoise en particulier, la police Suisse en générale, pour la prise en charge des individus atteints de cette pathologie dévastatrice honteuse. Nous avons déjà assez de problèmes ici au pays. Nous voulons, par exemple, savoir quand et comment seront mis en place les résolutions issues du grand dialogue national. Cette incertitude nous préoccupe plus que la « Bas » attitude de certains camerounais en quête de permis de séjour en Europe. Nous voulons savoir qui a intoxiqué, dressé et excité des jeunes gens Bulus du Dja et Lobo dans le Sud, contre leurs compatriotes Bamouns et Bamilékés de l’Ouest à Sangmélima. A quelques pas du village du président de la République. Cela est plus important que les bassesses de la « diaspora racaille ».

 

 

Correspondance Saint-Eloi Bidoung